Ceci est le deuxième et dernier épisode de « De quoi demain sera fait », lisez le premier épisode, ce serait dommage d’avoir raté un si bon départ.
Juste avant de lancer ce dé, Marco se prit à s’amuser de la façon dont laquelle beaucoup de choses paraissant différentes sont finalement liées. Il regarda le dé et observa que le un et le six étaient opposés, mais qu’ils formaient ici une et même chose. Un voyage, même si celui-ci n’aurait pas la même destination. Que le deux et le cinq ne sont pas opposés mais similaires, car entre pompier ou cuisinier, la finalité est la même, celle de faire pour les autres. Et enfin, que le trois et le quatre, entre un pépiniériste et un gardien de musée, un lien existe. Celui de la continuité dans le temps. Et surtout cette dualité opposant la nature et l’humain, qui tourne aujourd’hui à notre avantage, mais pour combien de temps encore ?
Le moment tant attendu était maintenant arrivé. Marco pris son courage à deux mains -euh, à une main plutôt- et lança le dé.